Amour et dégoût, ce sont au fond les deux émotions qui traversent le Major Dubreucq. Dégoût face à la brutalité absurde de l’univers, amour parce que sinon tout est foutu.

Photo : Marie Paluszkiewicz

Ses textes post-Kateriniens questionnent inlassablement nos contradictions, guettant l’improbable faille qui ouvrira vers un ailleurs perdu d’avance. Il y a de l’ivresse dans sa poésie un peu glamour, un peu triste. Il y a beaucoup de pudeur aussi, de tendresse.

Photo : Marie Paluszkiewicz

Dans sa nouvelle formule scénique, il profite de la complicité de Cédric Van Caillie (BaliMurphy) et Julie Leyder (Tibidi). A trois, il réussissent une pétillante alchimie de machines, de cordes et de voix, de violence et d’humanité, de raffinement et de mauvais goût.

Photo : Pierre-Jean Pirotte et Jérémie Jussy
Photo : Alice Khol
Photo : Fabian Braeckman
Photo : Fabian Braeckman
Photo : Fabian Braeckman